Deux tours du Monde en Porsche 928 GT

22 février 2024

Puisqu’il faut vivre sa propre légende, alors, comme le Père Noël, son balluchon sur l’épaule et son bâton de maréchal, Philippe Delaporte porte sur son dos un ‘’ballot de butin’’, depuis des années. Son rêve, parcourir le monde à bord d’une Porsche, tel un pèlerin qui est à la recherche du Graal et de belles histoires. Nous le savons tous, un pèlerin ne tient pas en place, chaloupé entre un monde moderne et l’ancien monde, il hésite en permanence. Forcément, l’aventure devient pour lui un leitmotiv qui résonne de plus en plus dans son esprit. « Christophe Colomb a ouvert le chemin, pourquoi pas moi ? ». Rien d’extraordinaire pour celui qui avait déjà trainé ses guêtres en Afrique, au volant de sa 4 L. L’histoire débute lorsque ses parents lui offrent une 4 L à la réussite de son Bac. Son envie de voyager et d’explorer un nouveau monde le pousse à partir avec un copain, jusqu’en Iran. Cette première expérience ne le quittera plus jamais. Deux plus tard, il décide de repartir avec sa 4 L pour traverser le Sahara et de rejoindre Kinshasa, en 1984. Au total, Philippe traverse 37 pays de long en large avec cette 4 L, que la famille baptisera ‘’ La voiture d’Afrique ’’.

En 1992, il croise René Metge dans un avion en partance pour Moscou, pour finaliser les dernières recos de la première édition du Paris-Moscou-Pékin. Huit ans plus tard, alors que ses deux fils, Thibault et Baudouin terminent leurs études, ils annoncent à leur père qu’ils souhaitaient partir avec lui pour découvrir de nouvelles populations. Ni une ni deux, Philippe Delaporte sort une carte du monde sur la table de la salle à manger et commence à tracer un parcours dans des endroits, ou une Porsche 928 GT pourrait passer. Finalement, ce sera la Route de la Soie pour rallier l’Iran. Il aura fallu un an de préparation pour élaborer un tel voyage. Non seulement, il fallait tracer un parcours susceptible de traverser la Russie, le Kazakhstan, l’Ouzbékistan et l’Iran. Et d’autre part, modifier toutes les parties fragiles du véhicule. Une Porsche est plutôt faite pour rouler sur de l’asphalte, mais certainement pas sur des pistes ensablées et cabossées. Mais voilà, en rêver et le faire, c’est autre chose. En feuilletant les albums d’aventures, Philippe Delaporte découvre l’épopée de la ‘’Croisière Jaune’’ d’André Citroën, Tintin au Congo et mon Oncle d’Amérique. De quoi l’inspirer.

À cœur Vaillant, rien n’est impossible.

En 2010, l’heure était venue de prendre la grande décision et de fixer la date de départ. « Puisque le temps s’écoule trop vite dans le sablier, autant partir le plus vite possible pour découvrir de nouveaux horizons ». Admiratif, des Dakariens avec qui il partage le goût de l’aventure, Philippe Delaporte échange régulièrement cette envie de parcourir les chemins de traverse au gré du vent. Son ami Gilles lui fait rencontrer une seconde fois le maître de l’aventure, Monsieur René Metge. Comme le dit souvent Jacky Ickx, en parlant de René  » Rendons à César ce qui est à César  ». Effectivemment, René a été l’un des fers de lance pendant des années pour la firme Porsche Stuttgart, aux 24 Heures du Mans et sur le Paris-Dakar. Donc, quoique de plus naturel d’écouter et de s’inspirer de celui qui a fait découvrir les quatre points cardinaux à des milliers de passionnés. Quelques mois plus tard, la date du départ est fixée le 24 septembre 2011. Direction Persépolis. Branle-bas de combat, toute la famille se présente sans tambour ni trompette pour poser aux Champs de Mars devant la Tour Eiffel, avec la Porsche 928. La carte du monde dépliée sur le capot, Philippe regarde une dernière fois la carte avant de filer à l’Anglaise avec son fils Baudouin. Curieux, les Parisiens sont nombreux sur place pour voir partir cet équipage, avant qu’il s’élance à travers le monde. Sur les parvis, tous les badauds pensent au roman de Jules Verne  »Le Tour du Monde en 80 jours ».  

2011 Premier itinéraire. Paris-Persépolis. 24 000 kms.

Après les flashs et les honneurs, le père et le fils prennent la direction de l’Allemagne, puis de la Roumanie, l’Ukraine, la Pologne, la Biélorussie, la Russie, le Kazakhstan, l’Ouzbékistan, le Turkménistan, l’Iran et la Turquie. Le point fort fut les photos de la Porsche sur la Place Rouge, à Moscou. Comme en Moldavie au Kazakhstan ou en Iran, la 928 intrigue le polpulation par sa pointe de vitesse donnée à 300 km/h. À Téhéran, l’accueil est très chaleureux à la concession de  »Porsche Iran ». La présence des journalistes et des collectionneurs de la marque démontrent que Porsche attire toujours autant de monde. Après avoir traversé 27 pays sur 24 000 kms sans aucune crevaison, l’équipage retrouve soixante-quatorze jours plus tard la capitale française. Malgré plusieurs péripéties, le pari sera réussi. Une fois de retour à la maison, ne tenant pas en place, Philippe déplie et replie la carte du monde sur la table du salon. Il ne veut pas en rester là. Finalement, il pense que la 928 pouvait faire mieux.

2016 Deuxième itinéraire. Paris-Tokyo. 16 350 kms.

Voyant leur père passer des heures devant la carte du monde, Baudouin et Thibault proposent au patriarche de faire l’autre partie du monde, mais cette fois, en deux parties. Une première boucle avec Baudouin et l’autre partie, avec son frère Thibault. Mais voilà, embarquer ses deux enfants dans une telle aventure, n’était pas simple pour leur maman. N’écoutant que son coeur, il n’en fallait pas moins pour que le Capitaine de Vaisseau prépare ses valises à toutes berzingues ! Puis, il surenchère, pourquoi ne pas faire la traversée du monde jusqu’à Tokyo ? Un Paris-Tokyo, Paris, aller et retour « Qu’en pensez-vous ? Nous pourrions traverser douze pays et rouler sur environ 16 350 kms. Mon programme est simple. Départ de Paris, puis Berlin, Saint Pétersbourg, Astana, Oulan-Bator, Vladivostok, Sakaiminato, et enfin, Tokyo ». Un pari encore plus fou pour cette famille qui est toujours à la recherche de sensations fortes. Si la Porsche était fin prête, il fallait régler la partie administrative pour passer d’un continent à un autre, d’une frontière à une autre, mais aussi, de régler tous les problèmes d’assurance. Pendant ce temps de préparation technique et administrative, la Porsche 928 V8 attendait de pied ferme à la maison, le jour du départ. L’hiver étant terminé, la voiture rêvait de sortir de l’anonymat pour faire le plein et s’élancer sur les chemins de traverse. Rutilante de ses plus beaux habits, la 928 fit son apparition le 28 mai 2016, la roue sur le toit et sous l’œil aguerri des médias, place de la Concorde. Le tout Paris s’était donné rendez-vous pour participer au grand départ. La famille, les amis, la presse spécialisée et le Club Porsche. Tous attendaient le feu vert. Philippe Delaporte était impatient de rouler sur les pistes de Mongolie, car il savait que ce pays ne se découvre pas, mais, qu’il se vivait au hasard des pistes et des rencontres. La Mongolie suscite aussi à la fois la fascination et la curiosité. Située entre la Russie et la Chine, il est riche par son histoire, puisque le règne de Gengis-Khan (1196-1227), a été le symbole de la puissance et de conquêtes.

Bada boom !

Mais voilà, il n’y a jamais de départ parfait. Place de la Concorde son fils Thibault s’inquiète, et pour cause. La première avarie est à mettre sur le compte d’une baisse significative de la pression d’huile. Ni une ni deux ! les Porschistes se jettent sur la voiture. Rien de grave, l’anomalie est vite maîtrisée. Après quelques heures de mécanique, le bolide retrouve vers minuit son énergie et cette envie folle de quitter la Place de la Concorde pour rejoindre au plus vite, Amsterdam. Le lendemain, l’équipage arrive à Berlin, puis, file sur la Pologne pour visiter la maison natale de Frédéric Chopin. Comme en 1992 sur le Paris-Moscou-Pékin de René Metge, à Moscou, la foule acclamait ces maudits Français de la baroude ! en compagnie du Club Porsche Russe. Pour l’occasion, les badauds avaient sorti leur plus belle Lada, afin de rappeler la belle époque de cette voiture du peuple, surnommée ’’ Champs de blé ’’. Après ces festivités, les choses se compliquaient. Les routes devenaient impraticables pour la 928. Des nids de poule tous les 50 mètres, des dévers et des ralentisseurs qui obligeaient à lever le pied pour éviter de tout casser. Celle qui était habituée à rouler sur des circuits rapides le pied au plancher, n’en ramenait pas large ! Ce qui devait arriver, arriva. La voiture fit un saut de Cabri brutal sur un ralentisseur, écrasant une durite d’essence sous le choc brutal. Philippe fait une réparation de fortune avec quelques colliers, et c’était reparti de plus belle jusqu’au prochain garage, pour rejoindre au plus vite les grandes steppes du côté d’Oulan-Bator, en Mongolie. Assis sur des herbes à chameaux et habillés de vieux vêtements souillés, la population âgée caressait leur barbichette taillée en pointe, dans un grand silence.

Les habitants d’Oulan-Bator sont polis, souriants et disciplinés. L’équipage ne pouvait avoir que du respect pour cette population méconnue. Sous l’œil avisé des oies cendrées, des aigles, des gazelles, des chameaux et des chevaux sauvages, ils allaient accompagner la 928 dans les hautes steppes. Un spectacle fascinant ou la poussière était soulevée par le vent. Le cheminement des troupeaux et le galop des cavaliers venaient troubler la Porsche 928. L’environnement n’avait cessé de monter en altitude à travers des bouqueteaux de peupliers, des petits champs de blé et de fèves. Sur une piste sablonneuse cachée sous les grandes herbes, ils croisent un vieillard étonné. Malgré son grand âge et la violence des souffles qui assaillaient son corps, il souriait impassible en fumant sa cigarette. À quoi pensait-il ? L’étrange grandeur de cette halte perdue au milieu de nulle part en plein coeur de l’Asie centrale, était traversée par des chemins rongés par le soleil et la poussière. Ce passage en Mongolie fut pour l’équipage un moment captivant à tout point de vue. Rouler au coeur de l’un des empires les plus puissants et les plus mystérieux de l’histoire était à la fois historique et enchanteur.

Halte là. Qui va là ?

Le temps de saluer Gengis-Khan à Oulan-Bator, ils allaient rouler pendant des heures dans ces grands espaces, méconnus du grand public. Plus ils avançaient, plus les paysages ressemblaient à une vaste table rocheuse, murée à l’Ouest par la montagne. À l’Est, dans les gorges, ils apercevaient au loin des chevaux sauvages qui couraient sous les yeux des loups, assis en flanc de montagne. Un spectacle inoubliable pour des Européens.

Le temps de saluer Gengis-Khan à Oulan-Bator, ils allaient rouler pendant des heures dans ces grands espaces, méconnus du grand public. Plus ils avançaient, plus les paysages ressemblaient à une vaste table rocheuse, murée à l’Ouest par la montagne. À l’Est, dans les gorges, ils appercevaient au loin des chevaux sauvages qui couraient sous les yeux des loups, assis en flanc de montagne. Un spectacle inoubliable pour des Européuns. Soudain, derrière les lignes de crêtes, l’équipage aperçoit au loin la frontière et les gardiens du Temple ! « C’est bon, on va pouvoir souffler » « Bonjour Messieurs, c’est la Police des frontières. Merci de nous présenter vos passeports et vos Visas. Désolé, mais vous ne pouvez pas passer, vos Visas sont des Visas de transit … » . La cabane était tombée sur le chien ! Le douanier répète en boucle « You cannot leave my country, vous devez repartir sur Oulan-Bator et vous rendre à l’Ambassade ». Philippe s’énerve, pendant que Thibault essaye de négocier. Après plusieurs heures d’échanges courtois, le paiement d’une amende et d’une lettre d’excuse, la Porsche reprend sa route, soulagée. Pendant ce temps perdu si précieux, le croissant de lune gravissait la pente céleste, face à la surface obscure de la steppe brûlée par le soleil rouge vif. Cette observation fut de courte durée, car la pluie diluvienne s’abat sur eux, du côté de Tchita. Cette fois encore, la Porsche démontre son extraordinaire fiabilité. À l’approche de Vladivostok le Porsche fait de l’aquaplaning, jusqu’au port, d’embarquement. Il faudra deux jours de traversée avec une escale en Corée pour franchir la mer du Japon. Une fois arrivée à bon port, a douane de Sakaiminato était tout aussi redoutable. Il leur faudra sept heures d’attente pour récupérer l’auto. Triste au fond de la cale, la Porsche pensait qu’elle avait été abandonnée à son triste sort dans un pays dont elle ne parlait même pas la langue ! La 928, une fois libérée, à sa grande surprise, on lui annonce qu’elle devait rouler à gauche. Un détail pour celle qui venait de traverser la moitié du monde. Entre-temps, Philippe et Thibault reprenaient l’avion pour Paris. Quant à la Porsche, elle finit par embarquer sur un autre bâteau pour rejoindre l’Amérique. Fin de la première partie.

Deuxième partie.

À peine revenu à Paris avec des souvenirs plein la tête, Philippe Delaporte retrouve Baudouin, son deuxième fils, qui lui est déjà fin prêt pour reprendre le relais de cette deuxième partie du voyage. Au programme : Anchorage, l’Alaska, la traversée des États-Unis et New York. Pendant ce temps, la Porsche 928 était suffisamment reposée pour repartir à l’abordage de cette deuxième partie. Elle est réceptionnée à Seattle aux douanes américaines. Mais voilà, tout ne se passe pas comme prévu, les doaunes bloquent le container pour réaliser un contrôle, de ce fait, la voiture ne peut embarquer sur les deux bâteau suivants, pour Anchorage. Malheureusement, le prochain bateau n’était prévu que le 15 octobre. Mille sabords, de mille sabords ! Le tour du monde était compromis, car à cette période, les températures descendent déjà à – 15°. À Paris, c’est la stupeur. De plus, les douaniers Américains sont intrigués par un véhicule qui arrive en container plombé du Japon, et de plus, est passé par la Russie, sème le trouble chez les douaniers. Il faut sauver le soldat Ryan ! De Paris, Philippe imagine le pire. Dans ce genre de situation, il sait que le véhicule peut vite être mis sous saisi et vendu aux enchères publiques, en deux trois mouvements. C’est comme la valise RTL, ils ne rigolent pas les Américains. Finalement, le transitaire réussi à faire transporter la voiture jusqu’à Anchorage par camion, au lieu de partir par bâteau, mais, avec quelques frais supplémentaires.

À nous les grands espaces.

Quelques jours après, libéré des contraintes douanières, le duo respire à pleins poumons l’air frais de l’Alaska. Les routes sont magnifiques, mais aussi, très dangereuses à cause de ces énormes camions qui roulent en plein milieu de la chaussée. La route qui relie Fairbanks au cercle polaire a finalement franchie cet endroit, où le froid vous engloutie les écoutilles, en quelques minutes. Il faut dire que dans ces contrées glaciales, le moindre petit dépannage coûte 1 700 $. Malgré les tempêtes de neige et la chute vertigineuse des températures, les 2 400 kms de l’Alaska Highway sont avalés sans encombre par la Porsche. À Calgary, le nez de la voiture était paralysé par le froid, tellement les températures étaient basses. Ouf de soulagement, l’équipage arrive enfin du côté de Vancouver pour fêter dignement cette balade des gens heureux, en compagnie du club Porsche 928, local. La boucle du Grand Nord était enfin terminée.

Plein Sud-Ouest.

Fini le grand froid, direction la descente vers la côte Ouest, avec une halte à San Francisco. Après la visite de cette belle ville, l’équipage reprend la route pour le Nevada, l’Utah, puis Las Végas. Face au Monument Valley, dans la Vallée de la Mort la Porsche n’en croit pas ses phares ! Ici, tout est beau, tout comme le fleuve du Colorado avec ses eaux émeraude qui reflètent dans le ciel. Si la 928 ne souffre plus du changement climatique, en revanche les pneus crient à l’agonie sur l’abrasivité de l’asphalte de la ‘’Route 66’’. Suite à un repos bien mérité, la 928 met le cap plein sud pour rejoindre la Floride et ses températures plus clémentes, du côté de Key West. Après de multiples péripéties, la 928 arrive incognito dans les rues de Manhattan, à New York. C’est la fin de cette belle randonnée pour Philippe Delaporte et ses deux fils. La balade de 35 000 milliers de kms, démontre que la marque est d’une fiabilité incontestable. La preuve, René Metge a remporté deux fois le Paris-Dakar avec la firme Porsche, en 1984 et 1986. On comprend mieux maintenant pour quelle raison on retrouve encore en 2023, des Porsche 911/959 sur le Rallye Africa Eco Race et sur le Dakar, dans la catégorie Classic.

Clap de fin ?

En 2021, Philippe Delaporte décide de repartir à l’assaut de l’Islande avec son bon ami Thierry, pour traverser six pays. Au total, la Porsche 928 aura parcouru 64 000 kms et traversé 40 pays. Est-ce qu’elle aspire au repos ? Certainenement, puisqu’elle envisage de rouler sur les cinq continents dans les prochaines années. Ce que nous savons, c’est la que Porsche 928 se produit toujours d’expo en expo, de salon en salon pour susciter la curiosité auprès des Porschistes, et autres baroudeurs.

Auteur : Gilles David – Crédit photos : Philippe, Thibault et Baudouin Delaporte – Livre disponible sur : www.lemondepourpassager.fr – Photos et vidéos : www.porsche-928-expedition.com

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