24 Heures Tout-Terrain de France 2025.

17 septembre 2025

Epreuve organisée par l’ASA 91, c’est sous un temps mitigé, dans la joie et la bonne humeur que les vérifications administratives et techniques se sont déroulées, le vendredi 12 septembre. Dans les stands, c’est aussi le moment des embrassades et des retrouvailles pour les concurrents et les assistances pour cette 33e édition.

C’est une véritable fourmilière, on installe les établis, le poste à souder, le compresseur, les pneus de rechange, les moyens de communication, mais aussi, les tables pour restaurer les membres de l’équipe. C’est ce qu’on appelle, l’arrière-boutique. Plus de casse-croûte que l’on avale entre deux relais. Maintenant, les cuisines deviennent un lieu d’échange et de partage.

Finalement, beaucoup d’écuries ont leur propre cuistot. Il faut dire que le partage de la gamelle devient incontournable dans une course aussi longue. 24 heures, c’est long et usant pour les machines, mais aussi pour les pilotes. Sur le Paris-Alger-Dakar, Thierry Sabine disait aux concurrents qui passaient la ligne d’arrivée tardivement à qui voulait bien l’entendre « Pas d’inquiétude, le moral revient toujours dans la gamelle ! ». Alors, pourquoi se priver des bons moments. N’est-ce pas Messieurs, Antoine Galland, Roger Audas et Henri Pescarolo. Les petits nouveaux de cette discipline découvrent une ambiance hors du commun. Mais à force de fréquenter cet endroit avec leurs parents, ils ont fini par développer un sens inné de la compétition automobile tout-terrain, qui fait d’eux aujourd’hui des êtres aguerris que l’on ne peut comprendre que si l’on partage un peu de leur monde. C’est la raison pour laquelle, père et fils, mère et fille, frère et frère, sœur et sœur courent ensemble dans le même véhicule en toute humilité. Ce qui est rassurant pour la famille et les membres de l’écurie.

Dans la famille Bastet, Fournier, Corvaja, Morize, Iste, Fay, Favre, Lafarge, Renaudin, Duplé, Coquelle, Bernard, Vigot, Delavennat, Galland, Billaut, Beziat… tous ces parents ont initié leurs progénitures à cette discipline, qui ne manque pas de sel !  En effet, en Tout-Terrain et encore plus sur une épreuve de 24 heures, tout peut se passer en un quart de seconde. On peut passer de l’euphorie au désespoir. D’ailleurs, les vieux brisquards connaissent la musique.

Samedi 13 septembre. Hier en fin d’après-midi, les concurrents ont pu croiser dans les stands le pilote Henri Pescarolo. Une visite surprise qui a enchanté la nouvelle jeune génération. Fontaine-Fourches s’éveille, dans les stands, ça sent bon le café grand-mère et les croissants chauds. Un petit moment de répit avant de s’installer dans le baquet à 8h00, pour les premiers essais chronométrés, jusqu’à 10h00.

Deux heures de roulage sur une piste sinueuse pour se familiariser avec le véhicule et le terrain. Selon les premiers concurrents à rentrer au stand pour changer de pilote, le tracé est magnifique « du vrai Tout-Terrain sur ce circuit de 6,400 km ». Il est vrai que la température et le sol sont idéals pour la pratique de cette discipline. Après cette petite balade ! entre potes, vient le temps des qualificatifs de 10h30 à 11h30. Fini la rigolade, la seule façon de passer au pilori ses adversaires, c’est de mettre le pied sur le champignon. Sur cette qualif, les Buggys sortent le couteau entre les dents ! Vous allez voir ce que vous allez voir ! Mais, les premiers ennuis commencent pour le Buggy MMP # 5 de Laurent Poletti qui rentre au stand à la ficelle avec son turbo cassé.

En deux ou trois mouvements, les mécanos se jettent sur le SSV pour le changer. Non loin, nous croisons Jean-Philippe Béziat qui donne quelques petits conseils à son fils Baptiste, pilote sur Karting, qui, cette fois, court pour la première fois sur ce genre de course « La conduite est complètement différente que sur de l’asphalte, ça secoue beaucoup, mais, j’aime bien ». Il est 10h30. Le top départ est donné pour les soixante concurrents des essais qualificatifs. Maintenant, on rentre dans la gueule du loup ! les cadors de la discipline vont pouvoir s’exprimer sans retenues sur cette piste damée à souhait.

Au coup de canon, le Can Am X3 # 88 s’élance à bras raccourcis devant les spectateurs déjà nombreux. Derrière, la horde sauvage serre les dents avant de le prendre en chasse. Tel un gibier chassé, le SSV # 88 glisse sur les lacets et les dévers sans s’occuper de ses rétros. Durant cette heure qualificative, on a droit à une véritable chasse à courre.

Du fait que le terrain est parfait, les meilleures de la discipline ont bien l’intention d’impressionner leurs adversaires à coup de boutoir. Côté 4×4, les Range Rover T2 B # 98, # 99 et le # 74 font le spectacle. Retour vers le passé ! les spectateurs retrouvent les belles années des Paris-Alger-Dakar en voyant passer devant les stands des véhicules habillés de leurs plus beaux habits de fête. Le meilleur temps des essais qualificatifs est attribué au #1 3 :45.865. Fouquet Nissan T1A. Aires Manuel/Warnia Jérémie/Bujon Benjamin/Pisano Mickaël.

Comme prévu, le départ est donné à 14h00 tapante. 5,4,3,2,1,0 vroommm, vroommm, vroommm, à l’abordage ! les spectateurs venus nombreux n’en perdent pas une miette. Nous voilà donc dans l’arène des gladiateurs pour affronter la dure réalité du Tout-Terrain. Sans surprises, les deux leaders s’emparent de la tête de la course. Stéphane Duplé # 55 et Benjamin Bujon # 1, entre les deux, c’est œil pour œil, dent pour dent. Aucun des deux pilotes ne veut céder la pôle. Après une heure de course, derrière, on trouve en troisième position le # 59 Antoine Galand, qui, lui, ne lâche rien. Pour suivre la cadence des T1, il faut passer de ténébreux à lumineux. Autrement dit, faire des étincelles ! pour se classer dans les dix premiers.

La famille Fournier fait sensation sur leur Can Am MMP. L’expérience de Philippe y est sans doute pour quelque chose, puisque le véhicule se retrouve rapidement à la cinquième place, au classement général.  Côté 4×4 T2 B, le ML Mercedes # 78 de Jean-Luc Baudet, se bat comme un diable face à tous les autres teigneux de cette catégorie. En T4, le Polaris d’André Bastet tient la dragée haute, puisqu’après une heure de course, le SSV # 10 pointe son nez en quatrième position et quatrième scratch. Fidèle parmi les fidèles de cette épreuve, le Team A Donf Médoc Toyota KDJ 90 # 33 affiche une belle brochette de pilotes, dont, Franck Cuisinier qui a été quatre fois champion de France. Il est associé à Emmanuel Esqiueu, Pierre-Yves Debuisne et Denis Podevin. Une cuvée 2025 qui ne laissera personne indifférent.

Pour l’instant, les SSV T3 restent à l’affût, à l’image de l’équipage # 11 Pascal Rollet, Luca Crosse, Jean-Philippe Béziat, Baptise Dermond Béziat et Kévin Rouvière. Devant, ça ventile, ça éparpille façon puzzle. Dans la première course, la piste commence à se creuser, ce qui donne lieu à des bosses ! des passages que les amortisseurs n’apprécient pas. Coup dur pour le Nissan Overdrine # 9. Le véhicule rentre au stand avec un problème d’arbre de boîte. Comme un malheur ne vient jamais seul, la Range Rover # 99, couleur poussin Sahel ! de Baptiste Payen se met sur le côté. Rapidement, les dépanneurs viennent à son secours pour la remettre sur ses quatre pattes. Plus de peur que de mail, le pilote sort sans bobo. Apparemment, seul le pare-brise semble avoir été touché. 

Parmi les pilotes renommés de la discipline, il y a Xavier de Soultrait. Un pilote du Dakar qui ne cesse de progresser. Sur les 24 heures, il fait équipe avec Legendre Teddy et Bellinato Ludovic. Des cadors, prêts à tout pour s’emparer du détroit de Magellan. La pluie fait son apparition, laissant place au spectacle de patinage artistique « Holiday on Ice ». On se rapproche doucement vers une nuit noire, mais néanmoins éclairée par les rampes de laser. Chacun a trouvé son rythme de croisière sur une piste de plus en plus détrempée. Dans le stand de l’écurie Etruscan Racong SSV # 94 de Luca Corvaga, la pérennité semble avoir pris le dessus.

Chiara Corvaja se prépare à prendre le relais un peu avant la nuit. Maintenant, les doutes sont évacués. Elle sait maintenant que les dépassements sont des manœuvres dangereuses, et si un concurrent vous rejoint, c‘est qu‘il est plus rapide. Il est donc inutile de résister et de prendre des risques inutiles. Mieux vaut lever le pied un peu pour éviter de quitter la piste ou de se retrouver devant un concurrent. Pour certains non-initiés, les premières heures passées dans l’habitacle commencent à peser sur les avant-bras. Les managers font entrer leur véhicule pour installer les rampes. L’occasion de changer et de faire monter un pilote frais pour entamer cette longue et difficile nuit.

La nuit tombe doucement sur le circuit, les stands prennent des allures de camp retranché. Les lampes frontales sur la tête, les mécanos scrutent les classements sur l’ordinateur. Devant la bagarre fait toujours rage entre les trois premiers de la classe ! le SSV # 44 de Philippe Fournier court après le # 1 Fouquet de Manuel Aires, et qui lui-même court après le # 55 DS Racing de Cédric Duplé. Un jeu du chat et de la souris qui perdure depuis le coup de sifflet. Il est vrai que les 24 Heures ne manquent pas de talent. En effet, le Buggy # 106 d’Arnaud Euvrard et Gilles Clochey fait des glissades spectaculaires dans le dernier virage avant la grande ligne droite des stands. Idem pour le quatuor # 59 Buggy Honda d’Hugues Moilet , Gilles Billaut, Galand Antoine et Philippe Boutron. La chasse est ouverte ! 

Premier coup de théâtre, quand on parle du loup ! le Buggy # 59 qui était en sixième position à 19h30 rentre à la ficelle au stand, à cause d’un départ de feu. Il semblerait que le mistigri attendait le début des ténèbres pour sortir du bois. La sale bête ! Parlons un peu de la piste qui a été tracée par André Bastet. Une piste magnifique que l’ensemble des concurrents apprécient. Tout y est, des pif/paf en dévers, des grandes lignes droites, des changements de cap, de quoi satisfaire tous les flibustiers venus s’affronter sur les 24 Heures. Il est 19h55. La course des 6 Heures Tout-Terrain arrive à son terme. Le drapeau à damier flotte dans le ciel. Top, c’est l’équipage # 201Monce Proto 4 L de Daniel Sellier et Kevin Sellier, qui passe le premier.

Pendant ce temps, c’est le déluge, la piste devient apocalyptique pour tout le monde. Même les plus aguerries, comme Roger Audas subissent les intempéries. Les teigneux deviennent dociles, car la moindre erreur serait fatale pour toute l’équipe. En même temps, lorsque ça devient compliqué, c’est là que c’est intéressant. À 23h00, DS Racing # 55 tient toujours la pôle avec deux tours d’avance sur le Buggy Fouquet # 1 de Benjamin Bujon. Bec contre bec, ergots contre ergots, ces deux-là luttent éperdument avec de nombreuses plumes qui commencent à joncher la piste. D’ailleurs, celle-ci est jonchée de pièges en tous genres, ce qui devrait ralentir considérablement la vitesse. Deuxième coup de théâtre, les conditions climatiques deviennent trop dangereuses. La gadoue, la gadoue… Qui sème le vent récolte la tempête, n’est qu’une histoire de gros grains. En pleine nuit, c’est marée haute. Des vagues poussées vers le large s’engouffrent sur la piste qui devient apocalyptique. C’est le mot qu’il faut utiliser pour décrire la folle nuit des 24 Heures. On a assisté à un tsunami qui ramenait des coquillages et des crustacés sur la plage, qui n’est plus abandonnée !

Deuxième coup de téhâtre, A minuit et demi, le directeur de course demande aux commissaires de course de sortir le drapeau rouge. Autrement dit, la course s’arrête, et tout le monde rentre au stand, par mesure de sécurité. Les SSV qui roulaient sans pare-brise depuis des heures devenaient des bateaux à la dérive. Balancés d’une rive à l’autre, ils couraient aussi vite que possible pour atteindre le ponton ! Luca Corvaja SSV #94 « Plus on avançait, plus la visibilité devenait mauvaise. Il était temps de rentrer avant de démâter !»  Pendant que les concurrents récupéraient, une partie de la piste a été refaite avec de gros engins. Dans les stands, on attend le feu vert du directeur de course pour repartir.

Du coup, ce n’est qu’à 8 h30, le dimanche matin que les valeureux marins se représentent sur la grille de départ pour un nouveau chrono. À 9h18, Vroommm, Vroommm, Vroommm… c’est un nouveau départ, mais cette fois lancé, pour les cinq dernières heures de course en respectant le classement de l’arrêt de la course. en tête, on en 1 #55 DS Racing Detienne Alexis Stéphane, 2 #1 Fouquet Off Road Bujon Benjamin, 3 #2 Kartshop Xavier de Soultrait… Sans chemise, sans pantalon et sans pare-brise, les SSV repartent de plus belle à l’attaque. Ces véhicules de course à quatre roues qui sont montés sur des mouvements de boule de billard, qui, selon le terrain penche avec le roulis et plonge avec le tangage d’une chaloupe. Malgré un petit rayon de soleil, très timide, la piste reste encore très glissante, néanmoins praticable pour un abordage dans les règles.

Les trois mousquetaires sortent le grand jeu, coure après moi que j’attrape. Et vlan ! L’équipage qui tire son épingle du jeu, c’est la famille Fournier # 44 Cap Off Road sur un Can Am qui avait profité avant l’arrêt de cette nuit, de se glisser en quatrième position. Les 4×4 font aussi bonne figure sur cette patinoire : # 93 Roger Audas Toyota KDJ 120. # 98 Baudrillard Philippe Land Rover, # 89 Jiquel Olivier Land Rover. # 62 Alain Coquelle Bowler Wildcat. # 33 Emmanuel Esqiueu Toyota KDJ 90. # 74 Guegan Corine Range Rover. # 78 Jean-Luc Baudet Mercedes ML. # 76 Auberteam Bowler Wildcat. # 336 Club Auto Passion Mitsubishi Pajero.  # 7 Sofrat Le fort Tristan Sprinngbok. # 9 Sofrat Aurélien Hemery Nissan Overdrive. # 67 Aubert Frédéric Land Rover. # 110 Delaporte Antoine Springbok. À ce moment précis, les deux Buggys de tête ne lâchent rien.

D’autant que derrière, il y a une meute de Polaris et de Can Am qui crient aux loups !  D’ailleurs, les vrais aventuriers sont ceux qui se moquent de la réalité parce qu’ils habitent un autre monde, celui de la gagne « Éloignez-vous de mon char, Marauds ». Ce qui n’échappe pas aux observateurs, c’est la belle remontada du # 90 de la famille Crevecoeur, Hervé, Maxime et Valentin avec leur Polaris Pro R. Les trois frères ont bien l’intention de dynamiter les grands champions, de les disperser aux quatre vents, et de les réduire en fumée. Dans la meute, on reconnait le SSV # 100 de Michel Salvatore, Tony Salvatore, Patrick Martin et Jerôme Naquart. Une équipe d’enfer qui a beaucoup d’expérience.

Dans les trois dernières heures de course, la tension commence à monter dans les écuries. La piste est toujours aussi glissante et dangereuse. L’empire contre-attaque ! le Buggy Fouquet # 1 Jérémie Warnia vient de prendre les commandes au classement général, puisqu’il profite d’un arrêt au stand pour un changement de cardan du Buggy # 55 de DS Racing. Dans la dernière heure, ces deux-là vont commencer à se regarder en chiens de faïence. Ce qui attire les yeux des quelques spectateurs, c’est l’état des SSV. Elles ressemblent toutes à la voiture de Mad-Max. De ce fait, dans cette dernière heure de conduite, il faut en appeler au bon sens de chacun pour que la course se dispute normalement dans un contexte malgré tout tendu. D’ailleurs, il arrive parfois que des excès en tous genres soient commis par des inconscients qui perdent tous sens de courtoisie et de sang-froid, au point de péter les plombs dans les dernières lignes droites.

Tout proche de l’arrivée, notons la belle performance du seul équipage 100% féminin # 74 Corine Guegan, Mélanie Brule et Valérie Panagiostis avec leur Range Rover classic du Team Sahel. Quant à l’autre, Range Rover du Team Sahel ETT # 99 de Yannick Panagiostis rencontre des petits de soucis de pare-brise. Les mécanos sont obligés d’installer un grillage pour terminer la course. Une position inconfortable pour le pilote qui va vite ressembler à Belphégor ! 

À 13h45, les officiels se rapprochent de la ligne d’arrivée pour bientôt sabler le Champagne avec les concurrents. Compte tenu des conditions climatiques de cette course hors du commun la phrase suivante était justifiée « Aventure, c’est juste le nom romantique pour dire « problèmes ». Effectivement, il y en a eu pour les pilotes, mais aussi pour tous les membres de l’organisation. Tous se souviendront longtemps des 24 Heures Tout-Terrain 2025. Il este 5mn de course. La tension est à son comble dans les stands, tout le monde retient son souffle en espérant voir leur pilote passer la ligne d’arrivée à 14h00 tapante. Les rescapés sont soulagés d’avoir terminé cette édition difficile. Le drapeau à damier libère ces valeureux guerriers de l’apocalypse. Finalement, c’est une délivrance pour tout le monde. Les deux Range Rover Classic du Team Sahel font résonner leur klaxon en passant la ligne d’arrivée. Pour Roger Audas, le doyen de l’épreuve, c’est encore une belle performance à mettre sur son tableau de chasse.

Cette 33e édition est remporté le Team Fouquet Off Road # 1 Airais Manuel/Warnia Jérémie/Bujon Benjamin/Pisano Mickaël Bugguy Fouquet Nissan. En deuxième position Team DS Racing # 55 Detienne Alexis/Duplé Stéphane/Fredenucci Kévin/Carlotti Killian/Tartarin Yves. Corse’r. Troisième # 2 Team Kartshop BY RDV. Legendre Teddy/De Soultrait Xavier/Bellinato Ludovic. Polaris Pro R. Félicitations à tous les membres de l’ASA 91 d’avoir tenu le choc, à Leslie et Jean-Louis Dronne.

Auteur : Gilles David. Crédit photos : Jacques Devisme.

Vous avez aimé le départ des Paris-Alger-Dakar, alors, rendez-vous le vendredi 26 septembre avec les 100 participants de  »La Route des Légendes ». Vérifications dès 10h00 devant le Château de Versailles. Puis, départ de la première moto à 14h00, direction Sète par la RN 20.

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